L’ingénieur japonais cherchait un moyen de remplacer le système obsolète du code-barres. Plébiscité en Asie, un peu moins en Europe, son QR Code est désormais dans tous les smartphones en raison de la pandémie.
Conservatrice de musée et historienne de l’art, elle a permis d’identifier, de sauver et de restituer à leurs propriétaires des dizaines de milliers d’œuvres d’art saisies par les Allemands durant l’Occupation.
Comment un immigré arménien a transcendé l’humiliation d’avoir été spolié d’une prestigieuse nomination académique en sauvant d’une mort programmée la bibliothèque publique de New York.
Mathématicienne géniale, elle a calculé les trajectoires des programmes Mercury et Apollo. Au point que les astronautes accordaient davantage leur confiance à sa science qu’aux ordinateurs.
Leurs actions sont restées anonymes. Hommage à quelques-unes de ces personnalités arrivées au bon endroit, au bon moment, mais dont l’histoire n’a pas retenu les noms.
La Société Privée de Gérance (SPG) et la Haute École du paysage, d’ingénierie et d’architecture (HEPIA) remettaient en juin le 11e prix du concours « Paysages urbains : révéler et imaginer » sur le thème de la transition écologique urbaine.