Théorisé par le scientifique franco-colombien Carlos Moreno, le concept consiste à tout trouver autour de soi en un quart d’heure : travail, logement, commerces, écoles… Et à ne plus utiliser la voiture.
Priorité du canton romand depuis plus de vingt ans, l’écologie industrielle est en passe de devenir l’un de ses principaux atouts en matière de durabilité. Revalorisation des déchets, écoParc, pompage de l’eau du lac… les projets se multiplient.
Des associations et des individus lambda rachètent des terres et parcelles boisées pour les protéger des chasses privées ou des coupes rases. Des initiatives pour remettre la nature « en libre évolution » qui enchantent certains et en agacent d’autres.
Dans le secteur de la mobilité, l’hydrogène s’inscrit toujours davantage en complémentarité avec les véhicules à batterie. Avec des temps de recharge inférieurs et une plus grande autonomie, la pile à combustible séduit aussi le secteur aérien.
La Société Privée de Gérance (SPG) et la Haute École du paysage, d’ingénierie et d’architecture (HEPIA) remettaient en juin le 11e prix du concours « Paysages urbains : révéler et imaginer » sur le thème de la transition écologique urbaine.
Crise sanitaire, disparition de la biodiversité, urgence climatique… Pour la philosophe et économiste à l’Université de Lausanne, il reste à l’humanité neuf ans pour agir. Un délai très court, mais qui ne douche pas l’optimisme de Sophie Swaton, théoricienne de la transition écologique.
On dit qu’on voit mieux en prenant de la hauteur. En médecine, l’usage grandissant des satellites le prouve. Surtout pour traquer de minuscules moustiques porteurs de maladies.
Elle doit à la fois accueillir de nouveaux habitants et garantir la paix sociale, à la fois gérer la fluidité du trafic et préserver des espaces de tranquillité. En clair, la ville doit s’adapter aux changements de nos modes de vie, voire les anticiper.