Créer de beaux objets, c’est bien ; qu’ils servent à ceux qui en ont vraiment besoin, c’est mieux. Le « care design » se veut au service des personnes ayant besoin de soins. Ou comment concilier inventivité, pratique, prise en charge et esthétique.
Un écrivain que l’URSS n’a jamais réussi à briser, un petit entrepreneur qui pousse son président à démissionner et une porte-parole qui décide de parler : derniers portraits de celles et ceux qui refusent de se taire.
Anastasia Vasilieva est ophtalmologue à Moscou où elle dénonce la gestion calamiteuse de la pandémie du Covid-19 par les autorités sanitaires russes. Plusieurs fois arrêtée, elle continue pourtant son combat pour alerter l’opinion publique et fournir du matériel aux soignants. Interview.
Le lanceur d’alerte n’est pas l’apanage de notre société contemporaine. Bien avant Edward Snowden, Galileo Galilei, Voltaire ou encore Émile Zola avaient également choisi de prévenir l’opinion publique, parfois au péril de leur vie.
Qui sont celles et ceux qui dénoncent des scandales ? Leurs motivations sont-elles toujours vertueuses ? Réponse du sociologue français Francis Chateauraynaud créateur du terme « lanceur d’alerte » en 1996.
Ils sont chefs et ont décidé de quitter la frénésie des villes pour installer leurs fourneaux à la campagne. Un pari osé, mais gagnant à l’heure où la clientèle des restaurants se met au vert.
TikTok, c’est cette application sur laquelle des millions de personnes se filment en train de danser. Pour dénoncer, pour s’exprimer ou pour s’amuser, pourquoi les gens se mettent-ils à bouger ?