Le monde n’arriverait-il plus à discuter sereinement des grandes angoisses qui le frappent ? Face à une société de plus en plus complexe et à un avenir de moins en moins serein, les esprits se crispent et remplacent le dialogue par l’invective.
La jalousie, la nostalgie, la colère… Comment vivre avec les émotions « négatives » que la société nous pousse à ravaler ? Sans recettes toutes faites, la docteure en philosophie milanaise dit s’adresser à tous les « paumés, assoiffés, agités et imparfaits ». Bref, à toute l’humanité.
Apparus à la fin du Moyen Âge, les jeux de cartes ont traversé toutes les époques sans jamais se démoder. Si d’un pays à l’autre les règles parfois se ressemblent, les cartes, elles, sont spécifiques à chaque région.
Le progrès au XXIe siècle s’incarne largement, sinon essentiellement, dans l’avènement de l’univers numérique. Un espace encore trouble, sans foi ni vraie loi, qu’il devient urgent de réguler.
De Rabelais aux métavers, la notion de progrès a évolué à travers le temps. Parti pour améliorer la condition humaine, le terme qualifie aujourd’hui des avancées essentiellement techniques qui servent la société… comme elles la desservent.