La Suisse n’en fait pas assez pour ses déchets plastiques. Elle n’en recycle que 10%, le reste étant incinéré. D’ailleurs, même le recyclage n’est pas la panacée. Différents points de vue s’affrontent, les politiques estimant que l’incinération offre un bon bilan écologique, les autres acteurs prônant un changement de comportement radical à cet égard.
Au printemps 2019, le Canada se retrouvait au cœur d’une guerre diplomatique avec la Malaisie et les Philippines, après avoir laissé pourrir dans leurs ports des déchets plastiques « faussement recyclables ».
Dans le canton de Genève, l’objectif est de recycler 50% des déchets à l’horizon 2020. En terres vaudoises, on espère atteindre les 60%. Pas fameux quand on sait que l’Allemagne se situe déjà à 65% depuis six ans. Comment expliquer ce retard ?
La Thaïlande est l’un des principaux contributeurs à la pollution plastique des océans. Devant l’inefficacité des mesures prises par les pouvoirs publics, le secteur privé s’organise pour tenter de réduire les déchets plastiques.
L’abandon sauvage de déchets sur la voie publique, ou littering, est devenu un véritable fléau en Suisse. Non seulement, il nuit à l’esthétique des milieux urbains, mais il coûte également cher au contribuable et a des impacts au niveau écologique. Depuis quelque temps, différentes villes ont décidé de prendre le taureau par les cornes et (...)
Il est le promoteur du premier tissu d’ameublement 100% recyclable utilisé aujourd’hui pour les sièges des Airbus A380. Albin Kälin, fondateur et PDG d’EPEA Switzerland GmbH, exhorte l’industrie mondiale à emprunter le chemin de l’économie circulaire en adoptant la méthode Cradle to Cradle®.