Heureux en affaires, mais malheureux pour tout le reste, le duc de Brunswick va léguer à Genève sa fortune colossale… à condition que la Ville lui érige le plus majestueux des mausolées.
C’est après une nuit au bord du Léman que l’écrivaine britannique alors âgée de 19 ans imagine l’histoire fantastique d’un savant fou ramenant un mort à la vie.
Nestlé, Patek Philippe, Schweppe, Mary Shelley… Des noms devenus, pour certains, des marques universelles qui font la renommée de la Suisse à travers le monde. Mais dont les auteurs ne sont pas nés en terres helvètes.
Le philosophe français, né en 1965, vient de publier « Pourquoi la guerre ? » chez Albin Michel. Un ouvrage aussi actuel que complémentaire de ses précédents essais sur la honte et la désobéissance, pour un contenu parfois oppressant et pessimiste ? Certes, mais avec des pistes qui démontrent sa formidable jeunesse dans sa façon d’envisager le monde.
Toutes les armées du monde cherchent les moyens les plus efficaces de faire disparaître leurs soldats dans la nature. Mais tous les pays ne les camouflent pas de la même manière.
Elle a puisé dans ses souvenirs de famille pour raconter un épisode tragique de l’histoire hongroise. Avec son roman L’anatomie d’une décision, Anna Szücs reçoit le Prix littéraire SPG du premier roman romand 2021.
La culpabilisation et ses corollaires que sont la honte et la mauvaise conscience. Pour la directrice de recherche à l’Université Gustave Eiffel à Paris, psychanalyste, mais aussi docteur en psychologie et en philosophie, il s’agit du grand mal du XXIe siècle. Mais tout espoir n’est pas – encore – complètement perdu.