Les parents des élèves de l’école Waldorf payent 20 000 dollars par an pour que leurs enfants reçoivent la meilleure éducation possible ; la meilleure c’est-à-dire la plus traditionnelle et cela signifie la moins high-tech qui se puisse imaginer.
Pourvu que les poètes ne s’en mêlent pas. Ni les philosophes et surtout pas les artistes. Le futur de l’humanité est une affaire beaucoup trop sérieuse pour qu’on l’abandonne aux rêveurs.
Quatre milliards de dollars pour financer l’enseignement des sciences de l’informatique dans les écoles américaines : voilà ce que Barack Obama a promis l’an dernier, en lançant l’initiative CS for All (« L’informatique pour tous »). Mais il y a beaucoup de chemin à parcourir. Actuellement, seule une école américaine sur quatre offre des cours (...)
En Inde, la technologie peut améliorer l’apprentissage des plus défavorisés. Jamais dans son histoire, ce pays n’a connu un taux de scolarisation aussi élevé : il atteint désormais les 96%. Mais derrière cette réussite se cache le revers de la médaille : une étude menée dans toute l’Inde a montré qu’en 2005 seuls 44% des (...)
Byju Raveendran est l’enseignant le plus célèbre d’Inde. Qui, dans le monde, peut se targuer d’avoir rempli des stades, juste en donnant des cours de mathématiques ? Âgé d’à peine 36 ans, Byju Raveendran est désormais à la tête de l’entreprise Think & Learn qui veut révolutionner la pédagogie grâce à la technologie.
Depuis trois ans, l’Australie a mis au point un programme qui vise à sensibiliser et à éduquer les enfants au numérique. Toutefois les avis et les résultats sont mitigés.
Mirage ou progrès technologique ? En 2010, les premières tablettes numériques faisaient leur entrée sur les bancs d’école. Sept ans plus tard, elles sont devenues le compagnon de classe de plus de 70 000 élèves québécois.
En Angleterre et au Pays de Galles, les enfants sont désormais initiés à la programmation informatique dès leur entrée à l’école. Le Royaume-Uni entend révolutionner l’enseignement du numérique.