Cécile Wendling ne prétend pas prédire l’avenir. Mais à travers son métier de prospectiviste, elle tente de prévenir les risques auxquels le monde et ses habitants pourraient être, un jour, confrontés.
Porsche, Aston Martin, Bentley, Bugatti ou Mercedes-Benz se lancent dans des résidences de prestige à Stuttgart, Miami ou dans les Émirats. Les marques automobiles entendent ainsi fidéliser leurs clientèles et en chercher de nouvelles. Même si leurs réalisations, malgré leur aspect spectaculaire, ne sont guère innovantes.
Elle est une légende vivante de l’astronomie. Médaillée d’or du CNRS en 2020, titulaire de la chaire Galaxies et cosmologie au Collège de France et vice-présidente à l’Académie des sciences, Françoise Combes est, à 72 ans, toujours habitée par une sorte d’énergie renouvelable qui cherche à percer les secrets de l’Univers.
Le prix Evariste-Mertens favorise l’accès au mandat pour les jeunes architectes-paysagistes. Les lauréats de l’édition 2016 aménageront une place dans la commune de Rapperswil-Jona à Saint-Gall.
La vie des arbres en ville n’est pas un long fleuve tranquille. Mais le savoir-faire de ceux qui les plantent leur facilite grandement l’existence. Étude de cas avec Lionel Chabbey, en charge de surveiller le développement de quelque 2500 jeunes arbres urbains.
Le conseiller d’État en charge de l’Économie, Pierre Maudet, a ouvert le Smart City Day qui a eu lieu le 14 septembre 2017 à Genève. Il croit fermement aux opportunités économiques de la transition numérique.
Les liens entre Smart City et aménagement du territoire sont aussi évidents en théorie qu’inexistants dans la réalité. Comment y remédier ? Quelques pistes avec Adriana Rabinovich, qui pilote le Projet d’agglomération Lausanne- Morges (PALM).
L’élu PDC investit fortement l’espace public avec des opérations souvent à financement mixte public-privé. Le festival Geneva Lux en est un exemple, tout comme certains aménagements verts sous le label Urbanature. Son credo : le PPP est une bonne manière de financer ces opérations.
Profitant des longues nuits de l’hiver, de plus en plus de villes se dotent de festivals de lumières. Entre art public et éclairages festifs, ces installations cherchent à innover aussi bien sur le plan artistique que sur celui de leur financement.
Sous la pression de la densification, les jardins et espaces ouverts sont devenus des trésors à promouvoir et à pérenniser en Suisse. Bilan intermédiaire d’une année consacrée d’abord à en faire connaître la valeur.
Le mot est sur toutes les lèvres, mais peu savent exactement ce qu’il recouvre. Peu importe : la «biodiversité» fait avancer la cause de l’environnement, de la nature et du paysage là où ils sont les plus menacés. Genève fait figure de pionnier en la matière.
Qu’on ne s’y trompe pas : la star du mur végétal, auteur de réalisations toujours plus spectaculaires, de Riyad à Miami, n’est pas qu’un jardinier médiatique. Patrick Blanc est d’abord un chercheur, un fou de plantes, un passionné du végétal de toutes natures et origines, un explorateur des forêts et des jungles du globe. Rencontre.
Quelle place pour les champs et le jardin dans les agglomérations lémaniques ? Deux manifestations culturelles, l’une à Genève, l’autre à Lausanne, proposent cet été près de quarante jardins temporaires pour esquisser des réponses qui se veulent innovantes, drôles et festives. Avant-goût.
Cet immeuble genevois déjà emblématique du futur Campus de la Paix au cœur du quartier international offre 135 logements aux étudiants de l’Institut des Hautes Etudes Internationales et du Développement. Visite guidée.
Un parking d’échange coiffé d’un hôtel trois étoiles et d’un musée de l’eau douce. La première pierre de cet étonnant programme, situé à l’entrée nord de Lausanne, a été posée ce printemps. Récit d’un projet qui ne manque pas d’air.
Suite de la visite des bains publics suisses initiée dans le précédent numéro d’IMMORAMA (n°31, Automne 2012, p.43), en forme de balade dans l’architecture des XIXe, XXe et XXIe siècles. Les cinq exemples décrits sont répertoriés par Patrimoine suisse dans son élégant petit guide entière-ment remanié, « Les plus beaux bains de Suisse ».
Pour prolonger un peu l’été et découvrir en nageant l’architecture des bains publics du XXe siècle, visite de cinq bassins cou-verts, répertoriés par Patrimoine suisse dans son élégant petit guide entièrement remanié, « Les plus beaux bains de Suisse ».
Devenue un acteur apprécié du débat architectural à Genève, la « MA » fait le plein à chacune des conférences qu’elle organise. Paradoxe : ses activités restent sans toit.
Seuls 14 % des Genevois de plus de 80 ans vont en EMS. Et jusque-là ? A leur domicile ! Si les services et les appartements sont adaptés, c’est moins le cas dans la rue, où un trottoir trop haut ou un banc sans accoudoirs devient un tel obstacle qu’il limite les sorties, entraînant une (...)