Inaugurée au printemps dernier, la Tour blanche de Mulegns dans les Grisons est la plus haute structure imprimée en 3D au monde. Réalisée par une fondation culturelle et l’EPFZ, elle entend éclairer le futur numérique de la construction et revitaliser une région délaissée.
Physicienne réputée, fondatrice de startup, professeure à l’EPFL, créatrice du MIT Daylighting Lab au Massachusetts Institute of Technology, grande spécialiste de la lumière naturelle dans l’architecture et artiste, Marilyne Andersen vient de prendre la tête du Geneva Science and Diplomacy Anticipator (GESDA), qui organise son grand colloque annuel du 15 au 17 octobre à Genève.
Leur job est de produire des automobiles. Pour des raisons parfois historiques, ces constructeurs fabriquent aussi des objets très éloignés de leur cœur de métier.
Cécile Wendling ne prétend pas prédire l’avenir. Mais à travers son métier de prospectiviste, elle tente de prévenir les risques auxquels le monde et ses habitants pourraient être, un jour, confrontés.
Porsche, Aston Martin, Bentley, Bugatti ou Mercedes-Benz se lancent dans des résidences de prestige à Stuttgart, Miami ou dans les Émirats. Les marques automobiles entendent ainsi fidéliser leurs clientèles et en chercher de nouvelles. Même si leurs réalisations, malgré leur aspect spectaculaire, ne sont guère innovantes.
Elle est une légende vivante de l’astronomie. Médaillée d’or du CNRS en 2020, titulaire de la chaire Galaxies et cosmologie au Collège de France et vice-présidente à l’Académie des sciences, Françoise Combes est, à 72 ans, toujours habitée par une sorte d’énergie renouvelable qui cherche à percer les secrets de l’Univers.
En théorie, on peut convertir n’importe quel véhicule à essence à l’électrique. L’opération s’appelle le retrofit. En France, cette métamorphose, encore très chère, commence à se répandre. Mais en Suisse, les autorités n’y voient, pour l’instant, pas vraiment d’intérêt. Alors que faire du neuf avec du vieux reste un gage de durabilité.
Pilier de la coopérative La Cave de Genève, le vigneron Nicolas Bonnet raconte comment ses membres ont réussi à faire aimer le vin genevois. Et leur sérénité face au défi de la relève et du changement climatique.
Son livre « Faire paysan » cartonne en librairie. À travers des témoignages d’agriculteurs et ses racines, l’écrivain vaudois livre un récit engagé et une enquête sur leurs conditions de travail, défendant un métier sous le feu des critiques.