Comment désengorger les villes du trafic ? Certaines développent leurs réseaux de bus, de métro autonome et de train. Tandis que d’autres regardent le ciel en misant sur le téléphérique urbain.
Le philosophe français, né en 1965, vient de publier « Pourquoi la guerre ? » chez Albin Michel. Un ouvrage aussi actuel que complémentaire de ses précédents essais sur la honte et la désobéissance, pour un contenu parfois oppressant et pessimiste ? Certes, mais avec des pistes qui démontrent sa formidable jeunesse dans sa façon d’envisager le monde.
Les jours, puis les semaines passent, sans que celles et ceux qui l’ont connu et aimé parviennent à admettre la triste réalité du départ de Thierry Barbier-Mueller vers un monde meilleur.
De la peau de cabillaud pour soigner les grands brûlés ? Seul un Islandais aurait pu y penser. D’une idée presque loufoque, Fertram Sigurjonsson en a fait une pratique médicale reconnue et un business rentable. Il nous raconte son histoire.
Nestlé, Patek Philippe, Schweppe, Mary Shelley… Des noms devenus, pour certains, des marques universelles qui font la renommée de la Suisse à travers le monde. Mais dont les auteurs ne sont pas nés en terres helvètes.
Il y aurait dans le monde 400 micronations qui délivrent des passeports et battent monnaie. Des États plus ou moins farfelus, plus ou moins artistiques, que ne reconnaissent que ceux qui les ont créés.
Comment désengorger les villes du trafic ? Certaines développent leurs réseaux de bus, de métro autonome et de train. Tandis que d’autres regardent le ciel en misant sur le téléphérique urbain.
Le philosophe français, né en 1965, vient de publier « Pourquoi la guerre ? » chez Albin Michel. Un ouvrage aussi actuel que complémentaire de ses précédents essais sur la honte et la désobéissance, pour un contenu parfois oppressant et pessimiste ? Certes, mais avec des pistes qui démontrent sa formidable jeunesse dans sa façon d’envisager le monde.
Les jours, puis les semaines passent, sans que celles et ceux qui l’ont connu et aimé parviennent à admettre la triste réalité du départ de Thierry Barbier-Mueller vers un monde meilleur.
Le plastique est l’ennemi numéro un de la faune et de la flore marines. Les sacs et emballages étouffent les coraux et menacent directement 800 espèces vulnérables. Et cette pollution concerne aussi la Suisse.
Pas besoin de se rendre en Irlande ou en Bretagne pour trouver des lieux sacrés. La Suisse romande regorge de pierres levées et d’autres témoignages anciens. Ce patrimoine cultuel est l’occasion d’entrer en résonance avec l’invisible et d’expérimenter le sacré.
L’entreprise lausannoise Gramitherm poursuit le développement d’une innovation née à l’EPFL: un matériau bio-sourcé à bilan carbone négatif pour isoler les bâtiments.