Pour eux, la vague numérique qui fera déferler des millions de tablettes intelligentes dans les classes de France d’ici à 2018 est une fuite en avant. Plus qu’un réel choix pédagogique, le choix du « tout numérique » est une supercherie promue par des politiciens et des pédagogues craignant de passer pour des ringards technophobes.
Alors que les écoles publiques font entrer les tableaux numériques et autres tablettes dans les classes, les écoles « alternatives », Steiner et Montessori en tête, préfèrent miser sur des activités manuelles et sensorielles.