Comment désengorger les villes du trafic ? Certaines développent leurs réseaux de bus, de métro autonome et de train. Tandis que d’autres regardent le ciel en misant sur le téléphérique urbain.
Le philosophe français, né en 1965, vient de publier « Pourquoi la guerre ? » chez Albin Michel. Un ouvrage aussi actuel que complémentaire de ses précédents essais sur la honte et la désobéissance, pour un contenu parfois oppressant et pessimiste ? Certes, mais avec des pistes qui démontrent sa formidable jeunesse dans sa façon d’envisager le monde.
Les jours, puis les semaines passent, sans que celles et ceux qui l’ont connu et aimé parviennent à admettre la triste réalité du départ de Thierry Barbier-Mueller vers un monde meilleur.
Singapour est une minuscule nation insulaire d’Asie du Sud-Est où la terre est rare et qui importe plus de 90 % de son alimentation. Avec peu d’espace pour cultiver la terre et un climat équatorial, Singapour n’est pas faite pour l’agriculture conventionnelle. Elle se tourne alors vers l’agriculture verticale.
Singapour est une ville moderne, de verre et d’acier. Elle est lisse et brillante, avec des gratte-ciels étincelants à l’aspect nickel sous un ciel bleu. Toutefois, des artistes ont bravé l’interdit et se sont exprimés dans la rue et partout sur les murs.
Le récent sommet de Paris sur le changement climatique a mis en évidence l’importance de préserver les ressources en eau potable dans le monde. Une planète plus chaude signifie que les nappes phréatiques, moins abondantes, seront davantage sollicitées, qu’il y aura des épisodes de sécheresse plus sévères et des changements dans le cycle de l’eau (...)
L’urbanisme est une question primordiale à Singapour. Les administrations compétentes ne cessent d’extrapoler les besoins de la ville dans vingt, trente, cinquante ans, que ce soit en matière de logement, d’emploi, ou de fourniture d’eau. Sur le plan des transports, Singapour met l’accent, d’une part, sur les transports en commun et, d’autre part, sur la (...)