Comment désengorger les villes du trafic ? Certaines développent leurs réseaux de bus, de métro autonome et de train. Tandis que d’autres regardent le ciel en misant sur le téléphérique urbain.
Le philosophe français, né en 1965, vient de publier « Pourquoi la guerre ? » chez Albin Michel. Un ouvrage aussi actuel que complémentaire de ses précédents essais sur la honte et la désobéissance, pour un contenu parfois oppressant et pessimiste ? Certes, mais avec des pistes qui démontrent sa formidable jeunesse dans sa façon d’envisager le monde.
Les jours, puis les semaines passent, sans que celles et ceux qui l’ont connu et aimé parviennent à admettre la triste réalité du départ de Thierry Barbier-Mueller vers un monde meilleur.
C’est devenu une tradition. Pour la quatrième année consécutive, des étudiants architectes et paysagistes ont rivalisé d’excellence et de créativité dans le Concours SPG-HEPIA « Voir et revoir : scénographies urbaines », qui connaît un succès croissant. En effet, l’édition 2013 a attiré dix-huit équipes concurrentes, alors qu’elles n’étaient que quatorze en 2012 et une (...)
Quand on l’aperçoit du haut du boulevard, c’est d’abord une couleur, une lumière rouge dans une artère grise, fatiguée par le temps. Dans ce quartier de Plainpalais-La Jonction en pleine mutation, le Saint-Georges Center prend position : il s’affirme, il prend place, il est là, témoignant des pouvoirs de régénération de l’urbain. En s’approchant, on (...)
Une gouvernance ferme n’est pas nécessairement incompatible avec une participation élargie. A Tübingen, elle en est même la condition. Des opérations d’urbanisme au pilotage extrêmement tenu libèrent les potentiels de créativité de groupes d’habitants et produisent des quartiers qui leur appartiennent, non seule-ment symboliquement, mais aussi parce qu’ils en sont les constructeurs et les copropriétaires.