Dans la catégorie « je pollue et je persiste », citons quelques exemples significatifs qui donnent la chair de poule et laissent à penser que nous avons perdu la raison. Négligence ou inconscience ? Les deux, mon capitaine. Notre maison brûle et à en croire le rapport du GIEC, il ne nous reste plus que dix-huit mois pour (...)
Russie, Groenland, Norvège… Dans le Grand Nord, les déchets nucléaires polluent des territoires entiers depuis des décennies. Mais avec le réchauffement climatique, les risques de contamination s’accroissent. Et les autorités se révèlent impuissantes.
Coup de tonnerre dans le monde du recyclage : la Chine, le plus gros importateur mondial de déchets, interdit, en 2018, l’importation de 24 types de déchets sur son territoire. Cette décision a eu des répercussions planétaires. La Suisse aussi est touchée.
La Suisse n’en fait pas assez pour ses déchets plastiques. Elle n’en recycle que 10%, le reste étant incinéré. D’ailleurs, même le recyclage n’est pas la panacée. Différents points de vue s’affrontent, les politiques estimant que l’incinération offre un bon bilan écologique, les autres acteurs prônant un changement de comportement radical à cet égard.
Au printemps 2019, le Canada se retrouvait au cœur d’une guerre diplomatique avec la Malaisie et les Philippines, après avoir laissé pourrir dans leurs ports des déchets plastiques « faussement recyclables ».
Dans le canton de Genève, l’objectif est de recycler 50% des déchets à l’horizon 2020. En terres vaudoises, on espère atteindre les 60%. Pas fameux quand on sait que l’Allemagne se situe déjà à 65% depuis six ans. Comment expliquer ce retard ?
La Thaïlande est l’un des principaux contributeurs à la pollution plastique des océans. Devant l’inefficacité des mesures prises par les pouvoirs publics, le secteur privé s’organise pour tenter de réduire les déchets plastiques.
L’abandon sauvage de déchets sur la voie publique, ou littering, est devenu un véritable fléau en Suisse. Non seulement, il nuit à l’esthétique des milieux urbains, mais il coûte également cher au contribuable et a des impacts au niveau écologique. Depuis quelque temps, différentes villes ont décidé de prendre le taureau par les cornes et (...)